Spywares, virus, chevaux de Troie? Tous ces ‘malwares‘ rendent les PC et leurs utilisateurs vulnérables?
Google s’est livré à une expérience riche d’enseignements. Il a ausculté un échantillon de 4,5 millions de pages web indexées par son moteur. A leur ouverture, plus 450.000 d’entre elles ont tenté d’installer un de ces codes malicieux !
Si la majorité de ces codes ne sont pas contrôlés par les utilisateurs, une partie proviendrait des pratiques fort peu étiques des publicitaires, puisque certains malwares proviendraient des bandeaux de pub.
Plus surprenant, une petite partie proviendrait des widgets, ces mini programmes à télécharger librement et qui viennent enrichir le poste de travail et le navigateur de l’utilisateur.
En réalité, l’étude de Google n’a rien de surprenant ! Une guerre a lieu sur la toile, entre les pirates de plus en plus compétents, organisés et mafieux, qui tentent de détourner l’attention des internautes afin de leur dérober informations, dollars, euros, etc., et l’inconscience d’une bonne partie des internautes eux-mêmes qui ne cherchent pas à se protéger des menaces.
10 % de pages vérolées ou relais d’attaques et de codes malicieux, ce serait même presque rassurant?
D'AgentJ à YesWiki, voici les dernières entrées au SILL (Socle interministériel de logiciels libres).
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