Wikileaks révèle un document de la CIA décrivant un malware qui permet de géolocaliser des PC ciblés à l'aide de simple hotspot Wifi.
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Wikileaks révèle un document de la CIA décrivant un malware qui permet de géolocaliser des PC ciblés à l'aide de simple hotspot Wifi.
Selon des experts en sécurité, la campagne menée par le malware Petya s’apparente plutôt à du sabotage qu’à un rançongiciel traditionnel.
De Moscou à Washington en passant par Paris et Londres, le ransomware Petya a pris dans ses filets de nombreuses grandes entreprises. Avec des conséquences opérationnelles bien réelles.
Un chercheur en sécurité a trouvé un moyen pour éviter l’infection du ransomware Petya, en plaçant un simple fichier dans Windows.
Nouvelle crise, vieilles recettes ? Petya, le ransomware qui se diffuse dans le monde entier depuis hier, récupère des ingrédients connus, mais y ajoute quelques raffinements attisant sa dangerosité.
Le ransomware star du moment est boosté par une faille pourtant corrigée de Windows. Encore une fois, la question de la non mise à jour des PC se pose.
Nouvelle crise mondiale provoquée par un ransomware. Une variante de Petya ou de GoldenEye a pris en otage des milliers de postes dans le monde. En France, Saint-Gobain reconnaît être infecté.
En exploitant une macro Word, un chercheur en sécurité a démontré que Windows 10 S n'est pas aussi infaillible que le laisse entendre Microsoft.
Le nombre de malwares conçus pour les objets connectés explose. Objectif premier : prendre le contrôle des objets, pour les enrôler dans des botnets.
Wikileaks dévoile le kit de hacking de la CIA pour infecter les réseaux protégés, non connectés à Internet. Une technique qui mise sur les clefs USB et qui rappelle Stuxnet.
Les pirates pourraient profiter des modes headless de Chrome et Firefox pour mettre au point de nouveaux malwares.
Le patron France de Varonis revient sur l’infection d’une usine de Honda par WannaCry. Et distille ses conseils. Analyse.
Après avoir souhaité un bon rétablissement à NKM, il est temps de lire les télégrammes du soir.
WannaCry ? Un ransomware de facture classique, dont le comportement traduit la nature, selon Jean-Louis Lanet, chercheur spécialisé dans l’étude des virus. Qui redoute par contre l’arrivée de malwares de chiffrement bien plus pernicieu ...
Le RaaS MacRansom devrait participer à la multiplication des menaces visant les machines desktops et portables d’Apple.
Mis au jour par Eset, Industroyer est un malware spécifiquement conçu pour perturber le fonctionnement des réseaux électriques. Et son caractère modulaire en fait une menace redoutable pour tous les Scada.
Le malware Industroyer est conçu pour s’attaquer aux systèmes de contrôle utilisés par les fournisseurs d’énergie.
Le bug dans Samba découvert dans le sillage de WannaCry enrôle des serveurs Linux pour les forcer à miner des crypto-monnaies.
Dans le cadre d’un dépôt de plainte d’une entreprise victime de WannaCry, la police française a saisi un serveur d’un activiste français.
Un malware qui peut s’installer en survolant un lien présent dans un document Office. Une nouvelle menace qui pourrait faire des dégâts en entreprise.
Dans un document de synthèse, Microsoft explique pourquoi Windows 10 est mieux immunisé que ses prédécesseurs contre les ransomwares. Un ensemble de fonctions qui expliquent pourquoi l’OS a échappé à la crise WannaCry.
Une étude menée par Citrix constate que des entreprises collectent des bitcoins dans le cas où elles seraient victimes d’un ransomware.
Un malware Linux cible les Raspberry Pi en les forçant à miner de la cryptomonnaie. Un peu étonnant face à la faible puissance des terminaux.
La société de sécurité RiskSense démontre comment il reste possible d'infecter un Windows 10 patché avec WannaCry.
Un groupe de pirates russes a utilisé le compte officiel de Britney Spears sur Instagram pour cacher la direction de leurs serveurs de commandes et contrôle.
Maintenant que Thomas Pesquet a retrouvé la terre ferme et que Donald Trump tourne le dos à l’accord sur le climat, il est temps de lire les télégrammes du soir.
En mai, le mois de la déferlante WannaCry, Windows 7 a continué de gagner des points sur le marché des OS desktop. Alors que c'est le premier système touché par le ransomworm.
Faute de systèmes d'authentification, les serveurs de base de données hébergeant des données mobiles sont facilement accessibles aux pirates, assure Appthority.
Selon Kryptos Logic, le nombre de PC infectés par WannaCry est largement supérieur aux 200 000 communément admis. Mais sans conséquence pour l'heure.
Le groupe de pirates, Shadow Brokers, a donné les modalités d'accès son service premium. Il faudra désormais débourser 22 000 dollars en Zcash.