Les syndicats avaient évoqué
« plusieurs centaines de licenciements » (lire notre information): ils ne sont pas tombés loin. A l’issue d’un comité central d’entreprise, Alcatel a annoncé la suppression de 470 emplois chez Alcatel CIT, principale filiale française du groupe qui compte 7.600 salariés. Il s’agit de faire face à la baisse des activités des réseaux fixes et optiques. Le groupe souhaite encourager le volontariat en recourant à des départs en pré-retraite. Par ailleurs, 900 salariés vont se voir proposer une mutation, soit de leur activité, soit de leur lieu de travail. Les activités d’Alcatel CIT seront redéployées entre les différents sites du groupe. Les sites de Lannion (Côtes d’Armor) et Orvault (Loire-Atlantique) vont accueillir des activités réalisées en région parisienne tandis que le développement de la téléphonie mobile UMTS réalisé à Vélizy (Yvelines) va être renforcé. Le site de Nanterre (recherche et développement) va être fermé et les activités vont être transférées vers Colombes (Hauts de Seine), Vélizy et Ormes (Loiret). Alcatel CIT, « condamné à disparaître » selon un syndicat, sort d’un plan de 1.060 suppressions de postes en 2003.
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