WebOS Plug-in Development Kit (PDK) et Android Native Development Kit (NDK). Derrière ces deux noms se cachent des outils permettant de développer des applications natives pour webOS et Android, lesquelles pourront exploiter du code écrit en C/C++ et non pas en HTML/JavaScript ou en Java.
Le but, à peine déguisé, de la manœuvre est de faciliter l’arrivée de jeux de haut niveau sur ces plates-formes. Sans grande surprise, ces deux kits permettent ainsi d’utiliser de la 3D accélérée, au travers de l’OpenGL ES. Ils proposent une implémentation assez similaire, qui consiste à mêler du code compilé aux applications classiques des deux OS. Le niveau d’abstraction entre les deux offres est donc assez proche.
Le NDK utilise le GCC et des librairies relativement génériques. Le PDK s’appuie lui aussi sur le GCC, mais emploie la librairie multimédia SDL. Ce choix favorise visiblement le portage des jeux, comme en témoigne Baudouin Corman, vice-président de la publication chez Gameloft : « Le Palm webOS PDK est extrêmement puissant et d’une portée considérable, au regard du nombre de jeux que nous avons été capables de porter sur webOS en une aussi courte période. »
Le PDK est aujourd’hui disponible en mouture bêta publique. Le NDK est pour sa part disponible dans sa troisième livrée, la première à supporter l’OpenGL ES.
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