C’est en août dernier qu’AOL, ayant constaté la présence de plusieurs paiements jugés suspects, que l’opérateur internet a licencié dans un premier temps son directeur des ressources humaines, accusé d’être à la tête d’un »
complot pour escroquer AOL« . Gregory Horton ne serait pas le seul à avoir profité de la combine, il aurait été accompagné de plusieurs ‘associés’. Depuis octobre dernier, AOL poursuit un autre de ses dirigeants de la division des ressources humaines, Ruben Moreno, lui aussi impliqué dans le procès. L’affaire risque d’aller plus loin, et d’éclabousser d’autres industriels américains de premier plan. PepsiCo, l’un des précédents employeurs de Gregory Horton, aurait d’ailleurs diligenté une enquête contre l’un de ses dirigeants, Angel Rodriguez, cité dans l’affaire AOL. Mais surtout, bien que les sommes détournées soient peu importantes, AOL craint la résonance qu’une affaire de fraude pourrait entraîner alors que Time Warner, sa maison mère, doit répondre à une enquête de la SEC, l’organisme de régulation de la bourse américaine.
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