Successions de pertes, chute des revenus, hémorragie massive de ses abonnés (2,2 millions en 2003), problèmes de positionnement: America On Line (AOL) est un boulet pour sa maison mère Time Warner. A l’origine de la fusion des deux groupes, la division Internet est aujourd’hui de plus en plus isolée: même son nom a disparu du logo de l’entreprise.
Et les choses sont en train d’empirer. Selon une information du quotidien américain New York Post, Time Warner étudierait différentes options stratégiques concernant le devenir de sa filiale. Les scénarios imaginés ne sentent pas très bon: restructuration significative, scission, voire une possible cession pure et simple. Et dire que c’est le jeune AOL qui avait racheté Time Warner en 1999… Le quotidien précise que lors du prochain conseil d’administration du groupe qui se déroulera en avril, le responsable d’AOL, Jonathan Miller, devrait faire le point sur l’activité de cette division. Pour le moment, ces informations de vente ou de scission sont qualifiées par le groupe de « rumeurs » mais Time Warner ne dément pas qu’une banque, la Goldman Sachs, est bel et bien en train d’évaluer ces différents scénarios.
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