Apple abaisse aujourd’hui le tarif de ses ordinateurs tout-en-un, les iMac. La firme lève en effet le voile sur un iMac 21,5 pouces accessible au prix de base de 1099 euros TTC, soit 915,83 euros HT.
L’équipement fourni est correct, sans être pour autant exceptionnel : processeur Intel Core i5 à deux cœurs (quatre threads) cadencé à 1,4 GHz (2,7 GHz en mode turbo), 8 Go de RAM et 500 Go de disque dur. Côté composants, cette configuration ressemble en partie à celle d’un PC portable. Un élément qui devrait avoir des retombées positives en matière de besoins énergétiques.
Il est regrettable que les SSD restent en option. Apple a toutefois le bon goût de conserver l’écran IPS Full HD (1920 x 1080 points) et la riche connectique (4 ports USB 3.0, 2 prises Thunderbolt et de l’Ethernet Gigabit) des autres iMac.
Les professionnels pourront profiter de la présence de la suite bureautique iWork, laquelle comprend un traitement de textes (Pages), un tableur (Numbers) et un module de présentation (Keynote). Notez qu’iLife (iPhoto, iMovie et GarageBand) est également présent en standard.
Finalement, le seul véritable défaut de cette machine reste son prix, trop élevé en zone euro. En effet, l’iMac 21,5 pouces d’entrée de gamme est distribué outre-Atlantique au prix de 1099 dollars, soit à peine plus de 800 euros HT. Pas étonnant que les machines à la pomme se vendent mieux aux États-Unis qu’en Europe.
Sur le même thème
WWDC : Mac OS X 10.10 Yosemite, iOS 8 et l’avenir selon Apple
Avec Swift, Apple veut révolutionner la programmation iOS et OS X
Google, Apple et IBM sont les trois plus grandes marques au monde
Crédit photo : © Apple
Voir aussi
Quiz Silicon.fr – L’histoire des ordinateurs Apple en 20 questions
Le CERT-FR revient sur les failles dans équipements de sécurité présents notamment en bordure de…
Mistral AI formalise ses travaux communs avec l'entreprise finlandaise Silo AI, qui publie elle aussi…
La présidente de Numeum, Véronique Torner, revient sur la genèse de la tribune du collectif…
Après avoir mené son enquête, la Commission européenne considère qu'il n'y a pas de prise de…
Les banques et les créanciers obligataires d'Atos ont trouvé un accord pour restructurer la dette…
Sur la feuille de route de Christophe Vannier, RSSI de Carrefour Banque, on trouve la…