Noël s’accompagne traditionnellement d’une recrudescence des attaques virales. Tout d’abord avec le relâchement des services informatiques, et ce malgré l’attention permanente des éditeurs de solutions antivirus, qui disposent généralement de mises à jours efficaces. D’autant que la plupart des attaques s’appuient sur des versions connues de virus déjà contrôlés.
Mais aussi par l’arrivée massive de nouveaux utilisateurs d’ordinateurs et de nouveaux internautes inexpérimentés, qui représentent une cible de choix pour les promoteurs des attaques virales, en particulier ceux qui s’appuient sur le ‘mass mailing‘, les virus largement diffusés par emails. Le Sober de Noël est là? Sober.C appartient à la famille des virus ‘intelligents’ qui s’auto-diffusent de manière transparente vers les adresses stockées sur les postes infectés. De plus, il dispose de la capacité de changer de visage et de modifier l’objet ou la langue du message diffusé. Cette version de Sober ne restera sans doute pas dans les annales, et son attaque sera probablement peu virulente. Mais il risque cependant de donner du fil à retordre aux postes de travail mal protégés qu’il va infecter, car il présente la particularité d’être ‘dual process‘: lorsqu’une attaque est brisée, il dispose en interne des ressources pour en lancer une seconde. Les principaux éditeurs d’antivirus proposent le ‘patch’ qui protège du risque que représente ce virus par ‘mass mailing’.
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