Les incertitudes et le manque d’informations sur l’évolution du conflit irakien continuent de peser sur les places boursières hésitantes. A la Bourse de Paris, le CAC40 s’inscrit en retrait de 0,29% à 2.787,56 points. Idem à New York, où le Dow Jones termine en repli de 0,61% à 8.229,88 points, et le Nasdaq de 0,26% à 1.387,45 euros.
Aux Etats-Unis, la valse des indicateurs macroéconomiques a été relancée par l’indice des commandes de biens durables, en repli de 1,2% en février, moins fort qu’attendu. Mais l’analyse de cet indice est révélatrice d’une véritable crise. Car si l’on exclut le transport qui pèse lourdement sur le marché, les commandes ont réellement chuté de 2,1%. Les ventes de logements neufs en février s’inscrivent, elles aussi, en retrait, 854.000 contre 914.000 en janvier. Mais la crise climatique qu’ont subie certains états est en grande partie responsable de cette chute. Le marché tend à la baisse, les valeurs technos à la hausse A la Bourse de Paris, la tendance fut incertaine, et les résultats partagés entre hausse et baisse. Le leader mondial de la téléconférence Genesys continue de créer la surprise en progressant de 17,57% à 2,61 euros. Quant au troisième fabricant mondial de cartes à puce, Oberthur Card Systems, il enregistre un gain de 9,84% à 2,79 euros. Le groupe a publié des résultats sans panache, mais sans inquiétudes, avec une perte nette de 27 millions d’euros, contre 21,7 millions en 2001. Les valeurs informatiques, à l’image de la majorité des technologiques, se maintiennent à la hausse. Transiciel progresse de 6,86% à 4,67 euros, GFI Informatique de 6,06% à 2,80 euros, Alten de 5,46% à 6,95 euros, Bull de 5,45% à 0,58 euro, ou Atos Origin de 2,70% à 25,87 euros. Malgré l’avis négatif de Goldman Sachs, qui a abaissé sa recommandation sur le titre, Alstom est reparti à la hausse, 6,29% à 1,52 euro, après que son porte-parole a annoncé que la cession de son activité turbines industrielles, annoncée lors de la présentation du plan de redressement du groupe, pourrait démarrer prochainement. Pour un montant compris entre 700 et 900 millions d’euros. A l’opposé de France Telecom, qui se maintient en territoire baissier suite aux turbulences de son augmentation de capital, le titre perd 0,69% à 17,18 euros, Wanadoo continue d’évoluer en territoire positif, et progresse de 3,46% à 5,38 euros. Le marché et les agences de notation ont accueilli positivement l’annonce de la renégociation des crédits en cours de Vivendi Universal. Le titre a repris 0,74% à 13,68 euros.
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