La Commission européenne et dix-sept sites de réseaux sociaux ont signé un accord visant à mieux protéger l’identité des utilisateurs mineurs. Facebook et MySpace, deux des plates-formes les plus populaires, ont également signé le document.
« C’est un pas important pour rendre les visites de nos enfants sur les sites de réseaux sociaux plus sûrs en Europe« , a déclaré Viviane Reding, commissaire européenne chargée de la Société de l’information et des médias.
L’accord prévoit ainsi plusieurs mesures de protection. L’ensemble des profils des mineurs ainsi que leurs contacts seront rendus confidentiels sur l’ensemble des sites Internet ainsi que sur les moteurs de recherche. Sur les sites de réseaux sociaux, les profils des utilisateurs et ceux de leurs contacts seront rendus « privés » par défaut, de manière à les rendre inaccessibles aux prédateurs sexuels.
Depuis 2006, MySpace, filiale du groupe News Corp, limite drastiquement la possibilité de contacter des mineurs pour les adultes de plus de 18 ans. Si toutefois l’utilisateur veut contacter un mineur, il doit entrer son nom, son prénom et son adresse e-mail, de manière à être plus facilement identifiable.
En 2008, le site Facebook a accepté, en accord avec les procureurs généraux, de supprimer les comptes des utilisateurs condamnés pour pédophilie.
Une mise à jour de l'EDR Crowdstrike Falcon a planté une multitude de serveurs et…
Un modèle GPT-4o mini rejoint le catalogue d'OpenAI. De la conception à l'évaluation, il a…
La Cour des comptes appelle à formaliser et à professionnaliser certains aspects du RIE, tout…
La Cour des comptes attire l'attention sur le risque d'affaiblissement d'Etalab, privé, ces dernières années,…
Missions historiques de la Dinum, l'ouverture des données publiques et la promotion des logiciels libres…
Pour développer une version 7B de son modèle Codestral, Mistral AI n'a pas utilisé de…