Issue du rachat de Ernst & Young, la filiale américaine de Capgemini est un boulet qui limite la progression du groupe. Ainsi au premier trimestre le chiffre d’affaires en Europe a bondit de 22%, mais seulement de 8% en Amérique.
Cumulé, le chiffre d’affaires du groupe a progressé de 15,9 % à 1,708 milliard d’euros, nettement supérieurs au consensus des analystes. En revanche, la division américaine de la société de services informatiques est depuis son acquisition un foyer de pertes ! Pour sortir de cette situation, Capgemini a dévoilé son plan de redressement des activités américaines. Booster, c’est son nom, « doit rendre les opérations américaines du groupe clairement bénéficiaires en 2006 et porter leur rentabilité au niveau de celle de ses principaux concurrents en 2007« . Le plan est destiné à optimiser l’utilisation des ressources internes, avec une réduction de la sous-traitance de 30 %, une réduction de 30 % des coûts de support et administratifs, et paradoxalement un recours accru à la production ‘off-shore’. Le coût du plan est estimé à 127 millions d’euros sur deux ans, dont 19 millions sur le licenciement d’environ 200 managers dès 2005. L’impact sur le cash-flow sera limité à 63 millions d’euros, selon Capgemini. Le groupe a réaffirmé ses objectifs en termes de chiffre d’affaires, hausse de 10%, et de marge opérationnelle, hausse de 3% pour l’exercice.
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