Cartes 2012 rassemble de nombreux acteurs de la sécurité numérique et des solutions de paiement. Atos Worldline est l’un d’eux. Ce dernier a profité du salon pour présenter la solution logicielle eGo, laquelle permet d’apporter des fonctions avancées d’authentification aux objets du quotidien.
Elle devrait changer en profondeur l’usage de services et de paiements numériques par le biais d’un doigt, explique ITespresso.fr. Car c’est la peau qui lance la transaction.
Le logiciel embarqué eGo a vocation à sécuriser l’authentification de l’utilisateur et la transaction en exploitant des technologies de chiffrement associées à de la biométrie.
Il peut être intégré dans un objet portable (ceinture, montre, bijou…) et peut servir intuitivement à diverses prestations physiques ou numériques : ouvrir la porte d’un hôtel, démarrer une voiture, fournir des données relatives à sa santé, effectuer une transaction avec son doigt.
« Les objets compatibles avec eGo reconnaîtront vos données simplement en les effleurant », déclare Denis Faivre, directeur innovation chez Atos Worldline, cité dans le communiqué. « C’est une manière d’agir on ne peut plus naturelle et simple. Elle va simplifier l’expérience de l’utilisateur avec une foule de services numériques. »
eGo fait partie du programme de recherche européen Eureka Catrene (Cluster for Application and Technology Research in Europe on NanoElectronics). C’est Gemalto, fournisseur de solutions numériques sécurisées, qui dirige le consortium.
En 2010, il avait d’ailleurs gagné le trophée de l’Innovation Sésames organisé dans le cadre du salon Cartes, avec eGo.
Néanmoins, pour l’édition 2012, on pourra découvrir d’autres expérimentations, tout aussi originales, pour l’authentification comme l’exploitation de l’empreinte digitale et du réseau veineux du doigt.
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