Pour gérer vos consentements :
Categories: CloudData & Stockage

Cloud Information Model : AWS et Salesforce répondent au trio Adobe-Microsoft-SAP

Salesforce n’a pas fini de creuser le filon MuleSoft.

Le groupe de Marc Benioff avait mis 6,5 milliards de dollars sur la table pour s’offrir, en mars 2018, cette entreprise américaine à l’origine d’une plate-forme d’intégration de données.

La technologie est devenue un pilier de l’offre Customer 360, lancée lors de la dernière conférence Dreamforce.

En marge de ce lancement, Salesforce était revenu sur ses démarches d’ouverture au nom de l’interopérabilité.

Il avait notamment mis en avant l’Application Network Graph.

MuleSoft propose, sous cette marque, un outil qui réunit des informations relatives aux API (versions, permissions, usage…) disponibles à l’échelle d’une organisation.

Le langage AML (Anything Modeling Language) en est l’une des composantes.

Le voilà mis à contribution dans le cadre d’un autre projet, open source celui-là : le Cloud Information Model (CIM).

AWS et Genesys s’associent à la démarche, sous l’égide de la Fondation Linux.

Objectif : développer un modèle de données ouvert qui favorise l’interopérabilité entre les applications cloud.

Adobe, Microsoft et SAP sont engagés dans une démarche similaire à travers l’Open Data Initiative, axée sur leurs CRM respectifs.

AWS a implémenté le modèle CIM pour la mise en place de data lakes et de data warehouses. Ce à travers les offres Lake Formation et Redshift. Salesforce y donne accès sur Customer 360 et via la marketplace Anypoint Exchange.

Photo d’illustration ©

Recent Posts

RH, finances, stratégie… Les complexités de la Dinum

De l'organisation administrative à la construction budgétaire, la Cour des comptes pointe le fonctionnement complexe…

7 heures ago

SpreadSheetLLM ou la promesse d’une GenAI plus à l’aise avec Excel

Sous la bannière SpreadSheetLLM, Microsoft propose un framework destiné à optimiser le traitement des feuilles…

8 heures ago

Comment AT&T a payé une rançon pour le vol de ses données

Selon le magazine Wired, AT&T aurait payé près de 400 000 $ à un pirate…

10 heures ago

Banni, Kaspersky quitte les États-Unis

Confronté à un bannissement généralisé, Kaspersky va se retirer progressivement du marché américain, à partir…

13 heures ago

La « coche bleue », mais pas que : X accusé d’enfreindre le DSA

Voilà X officiellement accusé d'infractions au DSA. La Commission européenne ne valide pas le système…

1 jour ago

Atos : le financement de la restructuration validé

Un groupe de banques et de créanciers obligataires ont accepté le financement du plan de…

1 jour ago