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L’exigence de rentabilité pèse de plus en plus sur le ‘back office’ des banques. Cette question reste délicate, car elle touche bien évidemment le personnel, mais elle est devenue incontournable », constate Marie-Aude Chabot, consultante chez Compass Managment Consulting, cabinet spécialisé dans le ‘benchmark’ d’entreprises. Dans les faits, les effectifs diminuent. D’après cet institut d’études, les ‘middle’ et ‘back-office’ ne représentent plus que 20% des effectifs globaux des banques françaises, contre 30% dans les six dernières années. Forte concurrence, érosion de certains marges comme celle des crédits immobiliers pour la banque de détail, rapprochement d’établissements qui imposent de repenser les systèmes d’information… Tous ces facteurs constituent autant d’incitations à chercher des gains de productivité. Ceci explique qu’un nombre croissant d’établissements ont recours à l’analyse comparative. «En France, cette méthode n’est employée que depuis trois ans, mais en Grande-Bretagne, cela fait au moins cinq ou six ans qu’elle s’est généralisée» poursuit Marie-Aude Chabot. Pour 2005, le cabinet d’études prévoit donc que 15% de son chiffre d’affaires mondial et français proviendra du secteur financier. Une forte croissance : ce chiffre n’atteignait pas 8% en 2003. Les spécialistes du ‘back-office’ pourront toujours postuler chez Compass.
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