Les failles de sécurité ouvrent la porte aux cyber criminels
Le ou les hackers qui ont attaqué le site des Nations unies se sont affichés comme des adversaires de la politique américaine et israélienne au Proche-Orient.
Ces activistes de la Toile ont remplacé un discours du secrétaire général de l’ONU, le coréen Ban Ki-Moon par des messages pacifistes.
Le but des ‘hackers’ dans cette attaque, semble-t-il, n’était pas la dégradation du site, mais de faire passer un message à l’organisation.
Le texte déposé sur le site déclare :« Hé! Israël et USA, ne tuez pas les enfants ni d’autres personnes. Paix éternelle. Non à la guerre! «
A priori, les « hacktivistes » ont utilisé une vulnérabilité via une requête SQL, dans le but d’altérer le contenu du site qui fonctionne sur des serveurs Apache et une plate-forme Unix.
Le plus incroyable dans cette histoire n’est pas la performance mais le fait qu’un site autant visité et consulté puisse être si vulnérable.
Depuis ce piratage, le site a été restauré et le contenu sauvage a été retiré. Les techniciens du site ont corrigé la vulnérabilité utilisée dans l’attaque, mais ils reconnaissent que d’autres failles sont encore présentes.
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