Consulter son compte en banque, effectuer des transactions financières, acheter en ligne depuis un ordinateur public ou un cyber-café n’est franchement pas une bonne idée.
Deux japonais l’ont bien compris et réussi le tour de force de détourner pas moins de 140.000 dollars depuis un cyber-café nippon. Comment ont-ils procédé? De façon très simple. Soft espion Les deux pirates, un ancien développeur de logiciels et un businessman ont d’abord installé un petit soft espion enregistreur sur un PC du cyber-café. Ensuite, il ne restait plus qu’à attendre que les consommateurs se connectent à leur banque, par exemple. Il leur suffisait alors de passer derrière leurs proies: le soft espion retenait la suite des identifiants et mots de passe saisis sur le clavier lors des procédures de ‘log-in’. La suite est logique: les deux japonais n’avaient plus qu’à effectuer, avec tous les droits d’accès, de discrets transferts d’argent de banque à banque. Les deux petits malins ont répété l’opération dans 13 cyber-cafés de Tokyo, utilisant une centaine d’ordinateurs en libre service. Mais après une traque bien orchestrée, ils se sont fait repérer puis arrêter manu militari. Ils risquent dix ans de prison.
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