A force de céder des actifs, de couper dans les dépenses et les investissements, Deutsche Telekom parvient à se remettre d’aplomb, en tenant son calendrier.
Pour le deuxième trimestre consécutif, l’opérateur a publié un résultat net positif: +256 millions d’euros. Les revenus sont en hausse de 5% à 13,6 milliards d’euros. La rentabilité s’est nettement améliorée: l’excédent brut d’exploitation est de 4,6 milliards, en hausse de 16%. L’endettement, depuis le début de l’année, a reculé de 8 milliards pour descendre à 48 milliards d’euros (contre 62,8 milliards, le summum, en 2001). Là encore, merci les mobiles! Ces bons chiffres sont dus essentiellement à l’activité des mobiles: le chiffre d’affaires de T-Mobile a cru de 19% à 5,6 milliards. Et la filiale américaine, T-Mobile USA, qui avait englouti des milliards, triple ses bénéfices. A l’inverse, l’activité des télécoms fixes continue de reculer: -5%, à 7,2 milliards. On revient de loin, car la perte nette de l’opérateur avait atteint 25 milliards d’euros en 2002. Si cette tendance heureuse se maintient, il sera possible de verser des dividendes dès 2005, disent les prévisionnistes
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