Vers un Salesforce vraiment multicloud ? À l’occasion de sa conférence Dreamforce, l’éditeur a levé le voile sur une initiative dans ce sens : Hyperforce. Il revoit, dans ce cadre, l’architecture de sa plate-forme logicielle. Objectif : en favoriser la migration vers les clouds hyperscale. AWS, Microsoft, Google et Alibaba sont tous dans la boucle.
À terme, Salesforce n’aura plus à gérer sa propre infrastructure. Pour les clients, c’est la perspective d’une plus grande flexibilité, aussi bien au niveau des ressources que de la localisation des données. Le tout sans aucun changement à réaliser de leur côté, leur promet-on.
L’Allemagne et l’Inde sont les deux premiers terrains d’exploitation d’Hyperforce. Il est question de l’étendre à une dizaine d’autres pays en 2021.
L’automatisation aura été l’autre thématique forte des premières annonces de la Dreamforce. Parmi ces annonces, une nouvelle marque : Einstein Automate. Elle fédère quatre grandes composantes :
Il est aussi question d’IA avec Workforce Management. Salesforce prévoit un passage en phase commerciale au 1er semestre 2021 pour cette composante de gestion du personnel ajoutée à l’offre Service Cloud. Il en vante les capacités d’analyse prédictive de l’activité des centres d’appels. Et de formation des agents, en connexion avec la plate-forme Trailhead.
Illustrations © Salesforce
Respectivement DG et CTO de Red Hat France, Rémy Mandon et David Szegedi évoquent le…
Canonical formalise un service de conception de conteneurs minimalistes et y associe des engagements de…
L'Autorité de la concurrence s'apprêterait à inculper NVIDIA pour des pratiques anticoncurrentielles sur le marché…
Le CERT-FR revient sur les failles dans équipements de sécurité présents notamment en bordure de…
Mistral AI formalise ses travaux communs avec l'entreprise finlandaise Silo AI, qui publie elle aussi…
La présidente de Numeum, Véronique Torner, revient sur la genèse de la tribune du collectif…