Un peu de réalisme: la fin du papier est encore très loin d’arriver. Le papier reste le support de prédilection dans l’entreprise, et le premier support de stockage des données. Dans ces conditions, un outil présent dans toutes les entreprises, mais généralement oublié dans la chaîne numérique, joue un rôle essentiel : le photocopieur. D’où l’idée qui fait son chemin d’intégrer dans cette chaîne l’outil qui a depuis longtemps cédé à l’attrait du numérique. Le principe en est simple, ‘sur le papier’, numériser les documents via le copieur et les injecter dans les applications de gestion des documents au travers d’une plate-forme middleware. Cette plate-forme existe, fruit de quatorze années de développement de la société eCopy. Longtemps réservée aux seuls copieurs Canon, elle s’est ouverte en juin 2004, en architecture
open-plateforme. Depuis lors, de nombreux fabricants et éditeurs l’ont intégrée dans leurs produits et les applicatifs. Ainsi la retrouve-t-on chez des fabricants comme Canon, HP, Ricoh, Océ, Sharp, Toshiba ou Fujitsu. Mais aussi sur des environnements de gestion des documents comme Documentum (EMC) ou OpenText (Microsoft). Et voici donc que la position qu’eCopy devient de facto la plate-forme industrielle de la ‘paper connection’, une révolution silencieuse qui place désormais le copieur, mais aussi le scanner ou le fax, en porte d’entrée des solutions de gestion documentaire.
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