Electronic Arts, le géant des jeux vidéo de Redwood City, souffre du syndrome du ?
blockbuster‘. En l’absence de titre fort pour la fin de l’année, période la plus favorable sur ce marché, l’éditeur est resté prudent quant à ses prévisions. Pourtant, les résultats du groupe sur son deuxième trimestre fiscal, clos le 30 septembre, sont bons, avec un chiffre d’affaires en progression de 35% à 716 millions de dollars, et un bénéfice net qui passe en un an de 77 à 97 millions de dollars. Mais Electronic Arts a préféré jouer la prudence sur ses prévisions pour le trimestre en cours, le plus fort de l’année, et anticipe un chiffre d’affaires trimestriel dans une fourchette de 1,4 à 1,475 milliard de dollars, inférieur au consensus du marché qui s’établit à 1,5 milliard. L’éditeur souffre d’une concurrence de plus en plus agressive, qui n’hésite plus à l’attaquer sur son terrain privilégié, les jeux de sports, et ne manque pas de casser les prix, jusqu’à 50% ! Ajouter à cela le manque de nouveautés, EA s’est fait une spécialité des franchises surtout sportives répétées d’année en année, et l’on obtient un premier éditeur mondial de jeux vidéo qui se veut optimiste, mais pourrait réduire la voilure en attendant la sortie des prochaines versions des consoles de salon.
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