Arm a tranché : ses technologies sont « made in UK ».
Le concepteur de processeurs a mené cette réflexion dans le contexte des mesures restrictives que l’administration Trump a imposées à Huawei.
Le groupe chinois est placé, depuis le mois de mai, sur une liste noire. Y sont répertoriées des entités dont les activités sont dites susceptibles de menacer la sécurité nationale des États-Unis ou ses intérêts géopolitiques.
Aucune organisation américaine ne peut fournir de produits et/ou de services à ces entités sans l’autorisation du gouvernement.
En conséquence, Huawei a subi, à divers degrés, des ruptures de relations commerciales avec ses fournisseurs.
Ses équipes juridiques ont conclu que l’actuelle architecture ARMv8-A n’entre pas dans ce périmètre. Et qu’il en sera de même pour celle qui lui succédera. Rien ne s’opposerait ainsi à poursuivre la collaboration avec HiSilicon, la filiale semi-conducteurs de Huawei.
Cette dernière exploite la propriété intellectuelle d’ARM sur sa gamme de processeurs Kirin, dont le prochain modèle est attendu pour le 2e semestre 2020 avec une gravure en 5 nm.
Dans la lignée des sanctions contre sa maison mère, elle avait fait circuler, en interne, un mémo invitant ses employés à stopper toutes relations avec Arm, sous peine de sanctions. Mais quelques semaines plus tard avait une photo suggérait que le contrat courait toujours.
Pour développer une version 7B de son modèle Codestral, Mistral AI n'a pas utilisé de…
L’Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) britannique ouvre une enquête sur les conditions…
Thomas Gourand est nommé Directeur Général pour la France. Il est chargé du développement de…
Pour dissuader le CISPE d'un accord avec Microsoft, Google aurait mis près de 500 M€…
Pour réduire la taille des mises à jour de Windows, Microsoft va mettre en place…
De l'organisation administrative à la construction budgétaire, la Cour des comptes pointe le fonctionnement complexe…