Deux salariés de City Watcher, une entreprise américaine de Cincinnati, se sont fait implanter des puces RFID, rapporte
Associated press, le 13 février dernier. Le p-dg lui même, Sean Darks, explique avoir tenté l’expérience. C’est un médecin qui a procédé à l’implant de la puce, d’une taille d’un grain de riz, dans le bras, juste sous la peau. Et l’entreprise n’a pas eu besoin d’autorisations, pour effectuer l’opération. Le but? Identifier les employés. La puce de la gloire City watcher fournit des services de surveillance vidéo aux entreprises et aux collectivités locales. Ce sont les résidents du voisinage qui sont chargés de vidéo-surveiller, en venant prendre leur poste de garde dans les locaux de l’entreprise ou de la collectivité. Or, face à l’afflux de visiteurs-vigiles, la société de sécurité a souhaité sécuriser l’accès des pièces où sont stockées les images des services de police, qui font partie de leur clientèle. Trouvant les solutions biométriques trop onéreuses, et démarchée par Veriship, la société a adopté le système des puces RFID. Celles ci n’émettent pas de signal, et ne permettent donc pas de localiser les salariés, explique un responsable, qui précise également que les salariés sont volontaires. Ces « pionniers de la puce » n’escomptent pas d’autre gain qu’une minute de gloire sur CNN.
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