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La SmartPaddle Pro d’eviGroup : une tablette Windows 8… en images

Le Français eviGroup redéfinit à sa façon la mobilité haut de gamme avec la SmartPaddle Pro, une tablette de 11,6 pouces qui compte à son actif bien des particularités matérielles et logicielles, en premier lieu celle d’intégrer un double amorçage.

La seule configuration proposée à 1190 euros TTC (hors frais de dossier et de livraison, soit 31 euros supplémentaires) inclut ainsi deux licences : d’une part, Windows 7 Professionnel 64 bits et de l’autre, Windows 8, pour l’heure en Release Preview, avec l’assurance d’une mise à niveau gratuite quand sortira la version finale, très certainement au début de l’automne. Dans l’absolu, ce sont 29,99 euros TTC d’économisés au passage.

Mais ce n’est assurément pas de trop alors que la SmartPaddle Pro embarque en guise de processeur un vieillissant Atom N450 à 1,66 GHz dont l’arrivée sur le marché remonte au premier trimestre 2010. Il s’agit d’un composant monocœur, limité au support de 2 Go de RAM et auquel la gravure à 45 nm confère une enveloppe thermique de 5,5 W.

Une tablette survitaminée ?

La batterie de 4800 mAh livrée en standard et selon toute vraisemblance non amovible atteindrait tout de même les 6 heures d’autonomie, malgré les sollicitations cumulées de l’écran 11,6 pouces à rétroéclairage LED en 1366 x 768 points, du Wifi 802.11n single channel, du Bluetooth 2.1 et de la 3G HSPA optionnelle, à 7,2 Mbit/s.

Dans son châssis de quelque 13 mm d’épaisseur, la SmartPaddle Pro intègre notamment 2 ports USB 2.0. Un clavier sans fil est fourni, totalement indépendant de la partie tablette. eviGroup esquive l’épineux dilemme de l’hybridité, non sans s’en approcher un tant soit peu et pour cause : posé sur sa station d’accueil, le produit se mue en un véritable poste de travail d’appoint, avec trois ports USB supplémentaires, toujours à la norme 2.0.

Une histoire de famille

Appréhender ainsi les possibilités d’une tablette permet de toucher à des usages insoupçonnés au premier abord. Tout particulièrement la reconnaissance faciale via la caméra frontale (pas de capteur dorsal) et le pilotage de l’interface graphique par détection des mouvements de tête (pas encore de contrôle oculaire). D’où cette surcouche logicielle censée contribuer à la productivité de l’utilisateur.

L’ensemble est basé pour partie sur la SmartPaddle, première du nom, une 10,2 pouces elle aussi sous Windows 7, mais dotée d’un Atom N455, garantie un an au lieu de deux, affichée à 599 euros TTC et par là même davantage destinée aux micro-entreprises ou travailleurs indépendants. Un seul canal pour faire l’acquisition de l’une ou l’autre de ces deux machines : le site du fabricant.

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