Le danger est qualifié de ‘bas’, mais la faille dans Word, qui permet de glisser un cheval de Troie (
Trojan) sur des postes vulnérables, reste menaçante et semble intéresser les auteurs de phishing. Corriger la faille est devenu stratégique depuis que les sociétés antivirales ont confirmé que la menace concernerait plus particulièrement les entreprises, mais surtout les administrations et agences gouvernementales de l’Union européenne et des Etats-Unis. On comprend donc l’empressement de Microsoft à corriger la faille et à combler le trou. Car même si la menace est faible et son exploitation complexe, il y a des victimes potentielles avec lesquelles il n’est pas question de mégoter? En attendant, Microsoft conseille d’exécuter son traitement de texte Word en mode protégé (Safe Mode) afin de prévenir tout risque d’exploitation de la faille.
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