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Ce n’est pas une grande nouveauté: on savait que France Télécom voulait se désengager de l’Italie depuis mars 2002. Mais cette fois, la séparation est en voie d’être consommée.
Ainsi, le groupe d’énergie Enel, actionnaire à 73,4% de Wind, se dit prêt à reprendre la participation de 26,6% de France Télécom (via Orange) pour environ 1,5 milliard d’euros. De quoi réduire un peu la dette colossale du Français (68 milliards d’euros). Bon prix Le prix peut paraître important, il est pourtant bien en deça des 4 à 5 milliards d’euros espérés il y a encore un an. Pour autant, face au contexte économique, les analystes jugent cette somme correcte, d’autant que Wind est encore déficitaire. Pour les neuf premiers mois de 2002, le groupe accuse une perte de 520 millions d’euros. Enel et France Télécom s’étaient alliés il y a cinq ans pour lancer Wind, le deuxième opérateur télécoms italien. Ce dernier est devenu le numéro trois italien des mobiles (8,1 millions d’abonnés) et le numéro deux de la téléphonie fixe.
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