A l’heure où les relations entre l’Europe et les Etats-Unis sont plutôt tendues, l’annonce d’un accord sur l’épineux problème de la concurrence entre les deux systèmes de localisation Galileo et GPS, est une bonne nouvelle.
Les négociations portaient sur la cohabitation sur la même fréquence radio de Galileo et du signal militaire américain: les Etats-Unis redoutaient des interférences. Les deux parties ont accepté d’adopter un système permettant l’interopérabilité de Galileo et du GPS, tout en préservant les impératifs de sécurité intérieure pour les signaux cryptés. Certains Européens ont longtemps redouté que, sous le prétexte d’agir au nom de la défense de la sécurité de l’Otan, les Américains privilégient en fait leurs intérêts commerciaux. Galileo devrait être pleinement opérationnel en 2008, à la fois complémentaire et concurrent du système Global Positioning System (GPS) américain.
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