Le projet Galileo hante encore les esprits et toujours chez les Européens. Selon The Register,une station de contrôle terrestre devrait voir le jour à Fucino en Italie. Telespazio, le constructeur de la future installation, une co-entreprise détenue par le français Thalès et l’italien Finmeccanica, doit prendre en charge le chantier. La station terrestre devrait fonctionner avec une installation fabriquée à Munich. Finmeccanica considère que l’érection de la structure devrait donner un coup de pouce au projet. La question du financement entrave de longue date l’achèvement du projet. Pour mémoire, l’Union européenne avait décidé de consacrer une partie du budget dévolue à l’origine, à la politique agricole commune. Jacques Barrot, commissaire européen chargé du Transport, avait, par ce biais, adjoint au projet Galileo 2,7 milliards de dollars. Les industriels trop frileux pour investir le moindre euro avaient salué l’initiative. Galileo tient à coeur aux Européens. Disposer de sa propre flotte de satellites permettrait aux pays de la zone euro de concurrencer l’actuel GPS régi par les Etats-Unis. D’autant mieux que Francesco Guarguaglini, p-dg de Finmeccanica, considère que « la précision de ce système est bien meilleure que celle du GPS« . Mais le chemin sera long. Initialement prévue pour 2008, la mise en orbite des satellites ne devrait par intervenir avant 2012.
Missions historiques de la Dinum, l'ouverture des données publiques et la promotion des logiciels libres…
Pour développer une version 7B de son modèle Codestral, Mistral AI n'a pas utilisé de…
L’Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) britannique ouvre une enquête sur les conditions…
Thomas Gourand est nommé Directeur Général pour la France. Il est chargé du développement de…
Pour dissuader le CISPE d'un accord avec Microsoft, Google aurait mis près de 500 M€…
Pour réduire la taille des mises à jour de Windows, Microsoft va mettre en place…