Le projet était bloqué depuis plus d’un an, au grand bonheur des Etats-Unis. Un accord intervenu entre l’Italie et l’Allemagne va enfin permettre au projet Galileo de démarrer.
Ce programme européen de positionnement par satellite (GPS ou GLobal positioning system) avait pris du retard suite à la concurrence de ces deux pays pour prendre la direction du projet. Finalement, et sous la pression politique des Quinze, les deux Etats ont trouvé un terrain d’entente. L’Allemagne récupère le siège du consortium et sera maître d’oeuvre dans le segment spatial. Les Italiens, de leur côté, ont obtenu la co-direction de la société: ils géreront les développements industriels et les contrats de sous-traitance, comme l’assemblage des satellites. Effectif en 2008 Galileo est financé à 50/50 par la Commission européenne et par l’Agence spatiale européenne. Une première phase de 550 millions d’euros comportera la mise en orbite de quatre satellites de validation du système. Vingt-six autres satellites seront lancés pour un coût de 2,2 milliards d’euros. L’ouverture du service est plannifiée pour 2008. Galileo entrera ainsi en concurrence directe avec le GPS américain dans le domaine de la navigation et du positionnement civil. Il permettra surtout à l’Europe de se démarquer des Etats-Unis concernant le guidage des armes.
Pour développer une version 7B de son modèle Codestral, Mistral AI n'a pas utilisé de…
L’Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) britannique ouvre une enquête sur les conditions…
Thomas Gourand est nommé Directeur Général pour la France. Il est chargé du développement de…
Pour dissuader le CISPE d'un accord avec Microsoft, Google aurait mis près de 500 M€…
Pour réduire la taille des mises à jour de Windows, Microsoft va mettre en place…
De l'organisation administrative à la construction budgétaire, la Cour des comptes pointe le fonctionnement complexe…