Google déploie les technologies d’intelligence artificielle, comme le machine learning, dans une myriade de services software et hardware. On l’a vu plus récemment avec la caméra Clips.
Cela s’accentue du côté de Google Flights, sa plateforme de comparaison des prix pour les vols aériens commerciaux dont le lancement remonte à 2011.
La firme de Mountain View a développé des algorithmes d’apprentissage automatique pour tenter de prédire les retards des vols des compagnies aériennes.
Dans cette optique, l’historique de données en masse sur les vols – et donc les retards – est « moulinée » pour parvenir à évaluer la probabilité des vols
Parallèlement, Google Flights donnera désormais plus d’informations sur les vols low cost proposés par les compagnies aériennes américaines comme American Airlines, Delta Airlines et United Airlines.
Google précise cette démarche dans un billet de blog : « Les nouveaux types de tarifs comme ‘Basic Economy’ sont parfaits pour les voyageurs à petit budget. Mais il est parfois difficile de comprendre si des options importantes, comme l’espace pour les bacs, la capacité de sélectionner votre siège et les frais de bagages, sont incluses dans le tarif. »
Aux USA, Delta Airlines avait initié les tarifs low cost sur certains de ses vols dès 2012. American Airlines et United Airlines lui ont emboîté le pas.
Mais, le problème communément rencontré avec ces vols à bas coût est lié au manque de clarté sur les services et autres commodités qui disparaissent avec des tickets low cost. Le client est alors souvent amené à payer des suppléments pour les bagages entre autres. Google Flights montrera donc maintenant à l’avance ce qui n’est pas inclus dans le tarif.
Google Flights a été lancé sur fonds d’acquisition d’ITA Software pour 700 millions de dollars (voir articles correspondant sur ITespresso.fr).
Sa vocation est d’aider les voyageurs dans la décision d’achat de billets au bon moment en prenant en compte les éventuelles augmentations des prix à escompter. Un segment de marché qu’occupent également des start-up comme Hopper.
(Crédit photo : Shutterstock (archive) – crédit photo musicman )
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