Pour favoriser la mise à l’échelle des ordinateurs quantiques, réduisons leur empreinte.
Intel s’est engagé sur cette voie dans le cadre de ses travaux avec QuTech (partenariat entre deux organismes de recherche néerlandais).
Il en résulte une puce, tout juste officialisée sous le nom Horse Ridge.
Gravée en 22 nm, elle peut fonctionner à une température de 4 °K. Ce qui doit permettre, à terme, de l’intégrer à même les réfrigérateurs cryogéniques. Et donc de se passer des dispositifs externes qui requièrent aujourd’hui de nombreux câblages.
En l’état, les systèmes basés sur des qubits supraconducteurs fonctionnent dans des environnements encore plus froids. En l’occurrence à quelques millikelvins, juste au-dessus du zéro absolu.
La puce Horse Ridge est vouée à contrôler un autre type de qubits, logés sur des puces de silicium. Elle en manipulera l’état à travers des ondes électromagnétiques influant sur le sens de rotation d’électrons.
Ces qubits occupent moins d’espace que leurs homologues supraconducteurs et sont censés offrir une meilleure cohérence.
Photo d’illustration © Kirsch / Intel Corporation
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