Sans surprise, Donald Trump a prolongé d’un an son ordre exécutif « anti-Huawei ».
Entré en application le 15 mai 2019, ce texte interdit à quiconque aux États-Unis d’utiliser des technologies d’information et de communication issues d’entités ayant des liens avec l’étranger et susceptibles de représenter une menace pour la sécurité nationale.
Les mesures édictées ne visent pas nommément le groupe chinois. Mais celui-ci en est bien la principale cible.
Le département du Commerce lui a toutefois accordé une exception, sous la forme d’une licence temporaire couvrant des transactions spécifiques.
Ladite licence était entrée en vigueur le 20 mai 2019, initialement pour 90 jours. Régulièrement renouvelée depuis lors, elle devrait à nouveau l’être d’ici à sa date d’expiration, fixée au 15 mai 2020.
Objectif : assurer une continuité d’activité pour les opérateurs télécoms ruraux qui se sont tournés – essentiellement pour des raisons économiques – vers les équipementiers chinois.
Des mesures compensatoires sont à l’étude pour accompagner la transition. Outre un programme de remboursement, le Congrès songe à financer la R&D des concurrents de Huawei.
On rappellera que le département du Commerce tient, en parallèle, une liste noire qui empêche Huawei de se fournir auprès d’entités américaines. Cela a, entre autres conséquences, privé le groupe de toutes les composantes non open source d’Android.
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