L’open source est un phénomène de société sur lequel de nombreux éditeurs surfent. Toutefois, certains tentent d’adopter des approches biaisées, qui leur permettent de profiter de la médiatisation liée au monde des logiciels libres… sans vraiment jouer le jeu de l’open source.
Première technique permettant de saborder les efforts de la communauté open source, l’open core. L’idée est ici de fournir le cœur d’une technologie sous licence open source, mais pas ses composants périphériques.
Oracle s’est récemment essayé à ce jeu avec MySQL. La firme améliore ainsi son produit par le biais d’extensions commerciales. Difficile de savoir si Oracle fera de cette méthode le mode de développement par défaut de MySQL.
Autre approche, les interfaces de programmation ouvertes. Les open API sont de plus en plus communes. Ici, seule la couche de communication avec le produit est ouverte, ce dernier restant clos. Un moyen idéal de s’enrichir à bon compte ironisent nos confrères de The Register.
Ce phénomène va grandissant, en particulier dans le monde du cloud computing. Les sociétés qui capitalisent sur ce nouveau phénomène en profitent en effet souvent pour oublier l’encombrant open source au passage.
Pire, leurs infrastructures internes s’appuient souvent sur des assemblages de projets open source. Cependant, le code n’étant à aucun moment distribué à leurs clients, rien ne les oblige à reverser leurs modifications à la communauté.
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