La plupart des organisations »
ne peuvent pas suivre l’explosion de l’information qui se met en place« , affirme Steve Mills, le patron des logiciels chez IBM. Le géant de l’informatique se propose donc d’aider les entreprises et les gouvernements en développant un nouveau type de logiciel qui reliera des sources de données disparates et en extraira des modèles. L’objectif sera de proposer à ces organisations des outils d’analyse pour détecter des échantillons susceptibles de signaler des fraudes dans des transactions financières. Les outils pourront aussi auditer les programmes gouvernementaux, détecter les bénéficiaires qui figurent sous plusieurs noms différents ou les fournisseurs qui gonflent leur facturation. L’équipement des structures gouvernementales, qu’elles soient publiques ou privées, est un marché très ouvert, sur lequel se précipitent les éditeurs, et qui reste ‘riche’. IBM l’a compris et va débloquer 1 milliard de dollars sur 3 ans pour le développement de ces applications de ‘financial intelligence‘. Dont une partie devrait financer les 15.000 postes qui seront affectés à ce marché.
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