Réception dans un haut lieu de la gastronomie parisienne, suspense orchestré avec la signature d’un « NDA » -i>non disclosure agreement
(engagement de confidentialité jusqu’à 4h00 ce matin!), informations distillées au compte goutte… Big Blue a sorti les grands plats ce 6 avril. Et pour une grande cause: les 40 ans des « mainframes ». Avant le gâteau d’anniversaire, nous avons accès à l’annonce du jour: IBM croit tellement aux grand systèmes qu’ils doivent intéresser les plus petits des… grand comptes! »
Nous voulons ouvrir les mainframes aux petites puissances« , a commenté Nicolas Sekkaki, vice-président systems sales d’IBM région EMEA/West. Le petit nouveau s’appelle zSeries 890: sur le papier, il vient relayer le zSeries 800 introduit, en entrée de gamme, il y a deux ans seulement. Avec une configuration de base démarrant à 26 Mips (millions d’instruction par seconde), et un investissement initial de 200 Keuros, ce petit monstre (rebaptisé « Ptérodactyle » dans la mythologie ibmesque ) cache son jeu. Car il est très évolutif: 28 niveaux de puissance possibles, jusqu’à 460 Mips. En clair, il est appelé à prendre la relève du z800, mais, vieille coutume dans les systèmes hôtes de la marque bleue, il vient recouvrir les plates-bandes de la série supérieure, celle du zSeries 900 introduit en 2000. « Ce sont nos clients qui nous le demandent. Nous répondons avec une extrème granularité dans l’échelle de puissance« , explique Patrick Kesler, directeur des serveurs eSeries chez IBM France, Belgique, Luxembourg. La puissance « on demand »: la machine est livrée avec sa capacité intrinsèque quasi maximale en termes de processeurs. Le client peut lui-même activer un code de débridage: l’échelle des Mips s’élève alors à volonté (et la facture avec, proportionnellement, bien sûr) -mais, c’est nouveau, avec la possibilité de rétrograder, donc d’absorber à la demande des pics de ressources nécessaires et maîtrisés. On l’aura compris: le z890 est très modulaire. Il est livré avec 1 ou plusieurs « moteurs » (« ways« , correspondant chacun à un processeur maître). ( A suivre )
Microsoft affirme que l'accord européen de 2009 a donné à CrowdStrike les clés du noyau…
Déjà Président du conseil d'administration, l'ex banquier Jean-Pierre Mustier est nommé directeur général d'Atos. Il…
Le Financial Times rapporte qu'OpenAI était en pourparlers avec des concepteurs de semi-conducteurs, dont Broadcom,…
En première ligne pour subir les cyberattaques, les TPE/PME sont aussi les moins bien formées…
La Cour des comptes estime que la Dinum doit construire sa légitimité, autant au vu…
La Cour des comptes pointe les « résultats contrastés » de la Dinum sur son…