Alors que leurs concurrents cherchent à réorganiser la matière au niveau de l’infiniment petit, afin de construire des transistors dont la taille permettra de placer toujours plus de circuits sur une surface réduite à sa plus simple expression, Chuck Black et Kathryn Guarini ont orienté leurs recherches dans une autre direction.
Les deux chercheurs d’IBM ont privilégié le modèle naturel des molécules comme un pochoir que traverse la lumière afin de graver des circuits de mémoire flash dans le silicium. Leur modèle serait donc le premier qui ne demande pas à connecter des circuits. Par opposition aux autres axes de recherche, la méthode pourrait s’intégrer aux processus industriels existants. En particulier, ils exploitent une combinaison de deux polymères dérivés du plexiglas et du polystyrène. Selon IBM, les premiers prototypes sont attendus d’ici trois à cinq ans. Chuck Black affirme que la méthode préfigure l’orientation finale des nanotechnologies. « Nous reproduisons le modèle que la nature nous a donné et nous faisons quelque chose avec. Nous la comprenons et nous savons comment construire des choses avec elle« . Simple, non?
Pour développer une version 7B de son modèle Codestral, Mistral AI n'a pas utilisé de…
L’Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) britannique ouvre une enquête sur les conditions…
Thomas Gourand est nommé Directeur Général pour la France. Il est chargé du développement de…
Pour dissuader le CISPE d'un accord avec Microsoft, Google aurait mis près de 500 M€…
Pour réduire la taille des mises à jour de Windows, Microsoft va mettre en place…
De l'organisation administrative à la construction budgétaire, la Cour des comptes pointe le fonctionnement complexe…