Internet Explorer règne avec une domination sans partage chez les internautes. Mais son hégémonie marque des signes de faiblesse. Selon l’institut WebSideStory, qui observe depuis 1999 le marché des navigateurs web, la part de marché du logiciel de Microsoft était de 94,73% le 4 juillet, contre 95,73% le 6 juin dernier. Une première dans les statistiques de l’institut.
Microsoft paye au prix fort la multiplication des failles, corrigées ou non, qui sont découvertes très régulièrement. Surtout leur exploitation par les pirates rend l’utilisation d’Explorer risquée, à l’image de Scob transmis simplement en visitant un site Internet. Par-ailleurs, les déclarations anti-Microsoft, dénonçant les risques d’une ‘mono-culture’, ont atteint des sommets et ont pour la première fois été massivement relayées par les médias. Même l’administration américaine, par la voix de l’US-CERT (US Computer Emergency Readiness Team), une agence gouvernementale, a émis le conseil d’utiliser un navigateur alternatif. Conséquence, l’open-source progresse. Toujours selon l’étude de WebSideStory, Mozilla/Mozilla Firefox progresse sur la même période de 3,21 % à 4,05%. Pour autant, ce navigateur n’est pas exempt de failles (voir notre article). Aujourd’hui, la firme de Redmond place tous ses espoirs dans le Service Pack 2 de Windows XP censé colmater les brêches. Une mise à jour critique dont la sortie a été une nouvelle fois reportée.
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