La sentence devrait tomber en novembre de cette année et Jeffrey Lee Parson ne risque pas moins de trois années à passer derrière les barreaux. Jeffrey a reconnu avoir récupéré le code source de la version originale du ver Blaster, puis l’a associé à une backdoor afin de pouvoir se connecter en toute impunité sur les machines des internautes infectés. Il l’a ensuite diffusé sur la toile, quant au reste de l’histoire, vous le connaissez? Le ver Blaster aurait contaminé prés d’un million de machines sur la toile. La variante de Jeffrey Lee Parson quant à elle se serait introduite sur un millier de machines. Un chiffre nous laisse perplexe car aux vues du battage médiatique autour de cette affaire, Jeffrey semble être le bouc émissaire idéal [1] et risque fort de payer pour le véritable père de Blaster. Les forces de polices quant à elles semblent s’être arrêtées de chercher le véritable géniteur du virus initial. En attendant son procés, Jeffrey vit chez ses parents à Seattle. Il a pu intégrer un programme d’incarcération ‘à domicile’. Il doit en effet porter un bracelet électronique 24 heures sur 24 permettant, une surveillance de ses moindres faits et gestes, et dans l’unique but de l’empêcher de remettre les doigts sur un clavier. Nous ne manquerons pas de vous donner des nouvelles de son procés.
Aurélien Cabezon (c) Vunerabilite.com [1] Lire l’article publié sur Vulnerabilite.com.
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