Ce mardi, le FBI avouait enquêter sur une cyber-attaque qui aurait fait perdre à la banque américaine Citigroup plusieurs dizaines de millions de dollars.
Le Wall Street Journal expliquait que des pirates informatiques, dont la nationalité pourrait être russe auraient réussi à dérober « plusieurs dizaines de millions de dollars » en utilisant un système baptisé Black Energy, permettant de commander un botnet (un réseau d’ordinateurs zombies). La méthode aurait ainsi permis de lancer des attaques par déni de service distribué(DDoS – Distributed Denial-of-Service.
Pour autant, ce mercredi 23, Citigroup fait marche arrière et dément avoir connu une telle cyberattaque. Pour autant, la banque a tenu à rassurer ses clients que ses fonds étaient saufs. Pourtant rien ne laisse encore présager de la méthode utilisée pour dérober les fonds. De même aucune confirmation n’est venue sur l’identité des hackers.
Dès lors, la banque explique clairement que : « les allégations du Wall Street Journal sont totalement fausses. De même, les allégations du FBI sont toutes aussi erronées». Si l’enquête est en cours, rien ne laisse encore présager de la nature de cette perte ni d’une éventuelle brèche dans les réseaux de la banque américaine.
Afin de sensibiliser les internautes aux dangers de la banque en ligne certains organismes ont réalisé des opérations comme l’offre d’un antivirus gratuit pendant un an afin de protéger son propre PC. Une solution a minima ?
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