Après une levée de bouclier internationale, les autorités avaient décidé à quelques jours du début des compétitions olympiques d ‘assouplir la grande muraille numérique.
Pour autant, certains sites sont toujours interdits dans l’Empire du milieu. Les accès aux sites pro-tibétains, au site de la BBC en langue chinoise ainsi que les ‘url’ consacrées au mouvement spirituel Falungong, une mouvance proscrite par le gouvernement central, ne peuvent pas être consultées.
Wang Wei, le vice-président du comité olympique chinois a donc affirmé le principe d’une liberté quasi totale de navigation. Son explication : « Certains sites sont dangereux pour notre jeunesse. Cette protection est la même que dans d’autres pays« . Il ajoute que certains sites pourraient aller à l’encontre de la sécurité intérieure.
Aucune mention du piratage du site Internet de Reporters Sans Frontières ni sur la riposte de RSF, un message rappelant aux autorités les principes des droits de l’Homme.
Jacques Rogge, président du CIO (Comité International Olympique), témoigne d’un certain agacement – mais est-il crédible à cette heure ? – lorsqu’il déclare que la « situation devra être revue après les J.O« . Un audit sur les décisions prises durant ces jeux par les autorités chinoises serait d’ores et déjà prévu.
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