Personne n’a oublié que plusieurs centaines de petits cybercafés ont été contraints de fermer par les autorités, en début d’année, et parfois avec une violence extrême puisque 25 personnes avaient péri lors de l’incendie de l’un d’entre eux. Aujourd’hui, Asia United Telecom and Network Company a profité des licences accordées en juin à 10 opérateurs pour relancer un projet de chaîne.
La compagnie a signé un accord de bonne entente avec IBM, qui trouve ici un moyen de se faire reconnaître au pays du mandarin. Big Blue fournit les murs et le matériel, AUTNC s’étant engagé à reverser tous ses profits au fabricant. La chaîne a été autorisée par les autorités culturelles chinoises, mais l’on peut rester sceptique quant à la liberté de surfer et de s’exprimer qui sera accordée aux internautes visiteurs de ces cybercafés, dont le premier vient d’ouvrir à Pékin ! Rappelons que Liu Di, une étudiante chinoise, est emprisonnée depuis novembre dernier pour avoir critiqué le parti communiste chinois sur Internet et exprimé sa désapprobation à la suite de l’emprisonnement d’un autre dissident.
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