Que penser d’un service international d’e-mail proposé par un pays où les radios et téléviseurs sont livrés bridés sur les seuls canaux des médias contrôlés par le gouvernement ?
Que son leader Kim Jong Il est un grand amateur d’Internet et qu’il y surfe régulièrement ? Le service proposé reste sous contrôle de l’agence centrale coréenne d’information, tout de même? Et il est peu probable que les 22 millions de nord-coréens disposent d’une adresse e-mail. D’ailleurs, le discours du leader n’est pas tourné vers ses ‘camarades’, mais vers les visiteurs étrangers, cantonnés aux seuls hôtels de Pyongyang: ceux-ci pourront se connecter à partir des rares lignes téléphoniques internationales disponibles uniquement dans la capitale. Dans ce pays exsangue, où l’arme nucléaire est un outil de négociation avec les instances internationales et les Etats-Unis, l’ouverture d’un cybercafé dans la capitale ne sera jamais un signe d’ouverture à la démocratie !
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