La Commission européenne ouvre une fois encore le dossier Intel. Le leader de la fabrication de puce est soupçonné depuis plusieurs années d’abus de position dominante. Cette fois, la Commission pointe du doigt les appels d’offres publics des gouvernements de quatre pays les Pays-Bas, la Finlande, la Suède et la France.
Lors de l’achat d’ordinateurs, ces appels d’offres auraient trop explicitement exigé des processeurs Intel, ou du moins mis en avant des spécifications qui correspondent aux produits du fondeur. Ce qui a pénalisé son concurrent, l’américain AMD, selon la Commission. « La référence à une marque spécifique constituerait, de l’avis de la Commission, une violation de (la directive) sur les contrats des marchés publics », précise la Commission. Sont visées des dizaines, voire des centaines, d’appels d’offres dans ces quatre pays. Le contrat le plus important est celui de l’armée française. L’appel d’offres, baptisé GAIA 3, requiert trois niveaux distincts de microprocesseurs, chacun d’entre eux étant décrit comme étant « à la pointe du progrès ». Les pays concernés ont deux mois pour répondre.
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