Lors de la libération par Google du codec vidéo VP8 au sein du format WebM (en mai dernier), la Free Software Foundation (FSF) s’était succinctement exprimée. Elle appelait alors les développeurs de navigateurs web à adopter le WebM (pour la vidéo) et l’Ogg (pour l’audio). Une réaction assez timide.
L’organisation, par la voie de Brett Smith, souhaite aujourd’hui apporter un soutien plus franc et plus concret au WebM. Elle a ainsi rejoint les rangs des supporters officiels de ce format. Et en a profité pour étendre la liste de diffusion de l’initiative PlayFreedom au WebM, en plus du Vorbis et du Theora.
L’organisation applaudit également la décision de Google consistant à retirer le support de l’H.264 de son navigateur web Chrome, au profit du seul WebM. Cette stratégie va en effet dans le sens de l’utilisation d’un unique codec ouvert pour la balise vidéo de l’HTML5. Une bonne chose selon la FSF, qui insiste sur la nécessité d’adopter des formats ouverts sur le web.
Toutefois, l’H.264 reste encore très présent sur la Toile. C’est même la seule offre supportée sous Internet Explorer et Safari, deux butineurs livrés par défaut avec les OS de Microsoft et d’Apple. Afin de faire pencher la balance dans le bon sens, la FSF encourage les webmasters à passer à l’action, en diffusant dorénavant leurs vidéos en WebM et non plus en H.264.
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