Quelques jour après la publication du
benchmark de BlueGene – le dernier monstre d’IBM qui se targuait d’avoir ravi la place de numéro 1 à Earth Simulator, le supercalculateur le plus puissant au monde généré par NEC ?cette place est de nouveau conquise. Columbia est le projet de supercomputer de la Nasa, nommé ainsi en mémoire de l’équipage de la navette. Alors qu’IBM annonçait 36 teraflops (trillions ou milliers de milliards de calculs en virgule flottante par seconde), Columbia affiche sur le même benchmark 42,7 teraflops, à 88% de sa puissance. Le supercomputer est un cluster intégré de 20 systèmes Altix 512 processeurs de SGI (Silicon Graphix), ce qui porte à 10.240 le nombre de processeurs Itanium 2 d’Intel. De quoi multiplier par 10 la puissance jusqu’à présent mise à la disposition de la Nasa. Columbia est destiné à la recherche et à l’analyse des changements climatiques, à la prédiction des ouragans, à la formation des galaxies, des trous noirs et des supernovas. Mais attention, NEC reste en embuscade, et a annoncé la commercialisation de la série SX-8, théoriquement à 65 teraflops (lire notre article). La prudence s’impose cependant, il y a un monde entre le théorique et le réel mesuré par les benchmarks?
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