Internet est largement dominé par les États-Unis, qu’il s’agisse des technologies, des réseaux, ou du contrôle des composants matériels ou immatériels. C’est sans doute une banalité que de le répéter, mais certains acteurs agissent afin de se dégager de cette domination.
Un groupe turc, la Turkish Informatics Association, a lancé un projet visant à développer un second réseau Internet, en partenariat avec une société basée à Amsterdam, Unified Identity Technology. Ce n’est pas le premier projet de ce type. Une fédération d’opérateurs indépendants, The Public-Root, travaille sur un projet identique de réseau alternatif composé de 13 serveurs dans 10 pays, dont la Turquie. Officiellement, ce projet est destiné à proposer aux entreprises comme aux particuliers des adresses Internet qui se terminent par leur nom, et non plus par .com ou le code du pays. Mais le véritable motif qui préside à ces projets alternatifs est lié à l’indépendance de ces pays vis-à-vis des risques d’interférences du gouvernement américain sur Internet.
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