Les grandes compagnies ont bien du mal à intégrer leur code au sein du noyau Linux. Ainsi, lors de la sortie du noyau 2.6.33, tout le monde s’attendait à voir disparaitre les pilotesopen sourcedédiés àHyper-V. De fait, Microsoft tardait à en proposer des versions actualisées.
Contre toute attente, ce sont les pilotes dédiés à Android qui se sont vus éjectés. Dérapage pour Google, le développeur de ce système d’exploitation mobile open source. La compagnie a toutefois profité du Linux Collaboration Summit de San Francisco (qui s’est déroulé mercredi, jeudi et vendredi derniers) afin de se rapprocher de la communauté Linux.
S’il est vrai que le code lié à Android n’est pas toujours adapté à un noyau Linux ‘classique’, sa réintégration ne devrait pas poser de réel problème. En fait, les seules véritables entraves sont les rythmes et stratégies de développement d’Android et de Linux, qui ne semblent pas toujours coïncider. La rançon du succès pour l’offre mobile de Google, adoptée actuellement au sein d’une trentaine de smartphones et comptant une logithèque de plus de 48 000 titres (dont 59,8 % sont des applications gratuites).
Malgré ces quelques difficultés, les deux parties semblent aujourd’hui d’accord sur un point: le noyau Linux employé au sein d’Android ne doit pas continuer à faire cavalier seul.
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