Avec sa faible consommation, l’Atom fait des émules dans le monde des serveurs. Nous le retrouvons ainsi dans les offres d’entrée de gamme de DigiCube.
En effet, l’Intel Atom permet de créer des machines, certes peu puissantes, mais aussi peu gourmandes en énergie. Ces offres sont d’une densité extrême, ce qui intéresse certains constructeurs de supercalculateurs. C’est le cas de SGI qui propose desclusters et même des supercalculateurs personnels pourvus de ces puces.
Conscient du potentiel de telles solutions, le département américain de l’énergie vient d’attribuer 9,3 millions de dollars à SeaMicro, dans le cadre d’un programme visant à favoriser les solutions écoénergétiques. Une information relevée par Katie Fehrenbacher .
Sa consœur Stacey Higginbotham rappelle que SeaMicro a construit un supercalculateur comprenant 512 processeurs Atom et un pétaoctet d’espace de stockage. Ce cluster coûte moins de 100 000 dollars. Un tarif très intéressant au regard du nombre de puces présentes.
Intel Atom chez SGI et SeaMicro, PowerPC chez IBM… les solutions peu énergivores semblent avoir le vent en poupe dans le monde du calcul. Ce mouvement pourrait encore prendre de l’ampleur, si les constructeurs adoptaient des architectures processeur proposant un ratio performance/watt encore supérieur, comme l’ARM ou des puces spécialisées.
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