Créée en 2003 par des anciens d’Alcatel, Sequans Communications a pris le pari technologique du successeur de Wi-Fi, le WiMax, qui en juin dernier a bénéficié d’un coup de pouce avec l’homologation de la norme 802.16-2004.
Un pari dès aujourd’hui en partie gagné: c’est du moins ce qu’anticipe Cap Décisif, qui a pris la tête des investisseurs. Ces derniers n’ont pas hésité à miser 5 millions d’euros sur la jeune société. C’est sans doute aussi ce qui a motivé l’Anvar (Agence Nationale pour la Valorisation de la Recherche), qui a octroyé à Sequans une aide de 500.000 euros sous forme d’avance remboursable. Après Intel qui a présenté sa première puce WiMax à l’occasion de l’IDF de San Francisco, et Fujitsu Microelectronics qui a annoncé une technologie équivalence, la France dispose d’une troisième voie qui pourrait retenir l’attention des équipementiers, Alcatel en tête.
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