Gary McKinnon, « le plus grand pirate de tous les temps » a joué son va-tout. Le hacker britannique, à l’origine d’une intrusion très médiatisée sur les ordinateurs du ministère de la Défense américain et de la Nasa, sera bel et bien extradé vers les Etats-Unis.
Rappelons qu’au mois d’août dernier, la Cour européenne des droits de l’Homme avait rejeté sa demande de recours et autorisé son extradition.
Sollicitée en guise d’ultime recours par l’avocate du pirate, la ministre de l’Intérieur du gouvernement Brown, Jacqui Smith, n’a pas donnée suite à sa requête. L’avocate espérait que la ministre obtiendrait du gouvernement américain que McKinnon purge sa peine au Royaume-Uni.
Poursuivi pour avoir piraté en 2001 près d’une centaine d’ordinateurs du Pentagone et de la Nasa, dérobé 950 mots de passe et causé, selon le gouvernement américain, quelques 750.000 dollars de dégâts, le hacker britannique encourt une peine minimum de 10 ans de prison.
L’avocate du pirate reste persuadée que les Etats-Unis veulent faire de McKinnon un exemple. La législation américaine, particulièrement sévère à l’encontre des pirates, pourrait en effet valoir à son client une peine bien supérieure à une décennie d’emprisonnement.
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