Après Munich, Chicago, peut-être Paris, ou encore la Chine et le Japon, c’est au tour de la Grande-Bretagne de montrer son intérêt croissant pour l’open-source.
L’OGC (Office of Government Commerce), un organe dépendent du ministère des Finances du pays, vient de publier un rapport, élaboré en partenariat avec Sun et IBM, très favorable aux logiciels libres. Il est constitué d’expériences pilotes menées depuis deux ans dans différents endroits du pays. Le rapport démontre que les logiciels open source fourniraient : « une alternative viable dans le domaine des logiciels de bureautique pour la majorité des employés des services publics ». Le document souligne que les « économies significatives » pour le gouvernement constituent un argument de choix, ainsi que l’interopérabilité inhérente aux standards ouverts. Néanmoins, l’organisme souligne clairement que cette migration s’accompagnera de nombreux problèmes, tels la planification, la formation des utilisateurs et des responsables informatiques, ainsi que les questions d’interopérabilité. L’étude réutilise donc l’argument numéro un de Microsoft, qui estime que le coût total de possession ou TCO de l’open-source est à terme beaucoup plus important que celui de Windows. Il faut enfin noter que l’OGC n’a qu’un rôle consultatif. Malgré ce rapport positif, il ne peut pas imposer de choix concernant les achats ou même sur les prises de décisions.
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